Prunes jaunes
J'ai récolté des petites prunes jaunes sauvages que je sais être très bonnes pour m'en être régalé il y a quelques années.
Je les ai ramassées au pied de l'arbre uniquement pour obtenir les noyaux, que je replanterai dans mon terrain quand j'aurai ma maison dans le Midi, ma BAD.
J'ai ramassé une nouvelle série de petites prunes jaunes.
Sachant qu'elles sont très bonnes, j'ai l'intention d'en planter plein partout quand j'aurai mon terrain. Plus on aura de fruitiers sauvages (et toutes les autres plantes sauvages comestibles), mieux on pourra survivre si une famine arrivait.
J'en ai ramassé pour la troisième fois. J'ai pris cette fois uniquement les noyaux déjà libérés de la pulpe sur des fruits déjà tombés depuis longtemps, ils sont plus simples à nettoyer.
J'en ai ramassé pour la quatrième fois. Je les ai prises à un autre endroit, pensant que ça pourra diversifier la provenance génétique des pruniers et les rendre plus forts quand ils se polliniseront les uns les autres, mais sans certitude que ce soit vrai.
C'est ce que je fais généralement pour toutes les graines récoltées.
Prunes rouges
J'ai récolté des noyaux de petites prunes rouges sauvages près de chez moi.
J'ai récolté à nouveau des petites prune sauvages près de ce qui était chez moi ; probablement au même endroit. Je les ai prélevées telles quelles, écrasées par les vélos et les piétons, et je les planterai telles quelles aussi. La chair qui reste, même séchée, se transformera pour devenir un bon engrais pour aider le noyau à germer et à faire ses premières racines.
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